Petite Présentation IRL:Mon nom est Francis et je suis originaire du Quebec au canada.J'ai 17 ans se que j'aime particulièrement dans la vie est la musique. J’écoute tout sorte de musique Comme:Du heavy metal,Du rap,Du rock ETC.Je suis une personne plutôt enjouer qui aime rigoler Grand fan d'histoire de personnage je prend un malin plaisir a lire et relire l'histoire de certain personnage de jeux comme Ryu(street fighter) ou king ,hwoarang (tekken).Je suis aussi Quelqu'un qui aime le sport comme le football américain et Jouer a League of Legends.
Pourquoi je veux rejoindre Votre guilde ?:tout simplement car je suis entrain de transférer de goultard et je recherche une famille avec qui je peux m'amuser et avoir du plaisir.comme j'ai dit je suis quelqu'un qui aime rigoler et c'est ce que je recherche je ne rechercher pas une guilde pour me stuffer ou faire plein de donjon je préfére largement une guilde avec qui je peux bavarder et avoir du plaisir.Je sais que mon level est beaucoup plus bas que le level requis mais j’espère que cette candidature va vous faire voir au delà du level et m'accepter chez vous.
Petit RP :
En effet, avec la lettre se trouvait dans le paquet, un livre relié au cuir de bouftou. Pas très épais. Sur la première de couverture, sobre, on pouvait lire " La Vie murmurée, ou nouvelles sans queues ni tête à lire au coin du feu " en lettre d'or. Derrière, pas de résumé. Juste ce commentaire :
Un recueil plein de surprises et de romantisme, à ranger dans sa bibliothèque personnelle entre Les contes de la mer Lowa, et Romances à Sufokia. **** La gazette des enutrof.
On ouvre le livre. Il sent bon les pages neuves.
Rendez-vous insolite
Je reçu un jour une lettre, à peu près comme ceci :
"Je vous attends ce vendredi à la Taverne du Chat Brûlé, la table tout au fond, vers vingt heure. Seul et sans armes."
On se dit " un fou ". Mais on y va quand même, pour voir.
Le jour dit, je me rend dans cette taverne miteuse, pour la première fois d'ailleurs. L'air y est lourd de fumée. Table du fond, une silhouette enveloppée de houppelandes noires, exhalant à un rythme régulier un épais nuage de fumée âcre. C'est en tremblant que je poussais la chaise branlante afin de m'y assoir.
- A l'heure dite, me susurre-t'elle, d'une voix grave mais féminine.
- Gloup, fis-je, en proie à une certaine nervosité.
C'est alors qu'elle découvrit son visage. Une écaflip d'âge mur, tout juste fanée, les yeux lourds, avec une expression mélancolique et désabusée. Le visage est beau.
- Voilà des mois que je cherche à vous voir, Wabbajack. Et voilà des années que votre être hante mes rêves. Fit-elle, tout en tirant une grande bouffée de sa cigarette démesurément longue.
- Et pourquoi cela ? Dis-je, déconcerté.
- Les yeux surtout. La voix jeune et claire. Je vous désire... Me murmura t'elle.
Je sentis soudain son genoux s'attarder entre mes deux jambes. Fébrile, je me résolu à garder mon calme, calme trahi par la sueur perlant à mon front. La chaleur était étouffante. C'est quand son genoux se fit plus audacieux que je ne pu m'empêcher de tressaillir. Je me mit à rougir.
- J'habite la rue d'à coté... dit-elle d'une voix à peine audible, tant elle était étouffée par son propre engouement...
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On saute plusieurs pages. On tombe sur cette nouvelle :
Epopées paysannes
Je fauchais toujours l'orge et l'avoine ainsi vêtu : Un chapeau de paille, un grand sac à contenir les céréales, des bottes robustes, et une faux immense entre les mains.
Il faisait chaud dans les champs de Bonta, j'étais en nage. Voilà plus d'une demi-journée que je travaillais d'arrache pied.
C'est alors qu'un milicien bontarien fit son apparition :
- On ne bouge plus jeune homme. Lâchez votre arme !
Je me retournais et vit le dit milicien : Un iop gringalet, tout jeune, et nouveau à en juger par ses ailes chétives.
-Pourrait-on savoir ce que je fais de mal monsieur ? dis-je, en gardant ma contenance.
Le jeune homme saisit un livre de son sac. Après s'être humecté les doigts, il en fit tourner les pages. Soudain, triomphant, il lut :
- " Article 389 alinéa C du code de conduite Bontarien, FAUX ET USAGE DE FAUX. Passible d'une amende à hauteur de 100 000 kama et d'un an de détention dans les geôles de la milice bontarienne. " Vous êtes pris la main dans le sac ! Dit-il en ricanant. Il exultait.
- Oh mon dieu, fis-je, désemparé face à cette créature stupide en proie à un excès de zèle.
Je me débarrassais de mon lourd sac, et en sorti rapidement un bâton au pommeau d'ivoire. Quand faut y aller, faut y aller.
- Oh oh, toute résistance sera inutile ! Cria le milicien, entrant dans une sorte d'état second, le visage déformé par le désirs de se battre.
Le combat fit rage.
A suivre
Ven 10 Fév - 13:43
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